Alors là, je suis tenté d'appliquer de manière bête et méchante.
Le texte impose de faire quelque chose, ce n'est pas un choix. De la même manière qu'a la fin du tour, on pioche une carte pour la mettre en main.
Cette charmante faiblesse, qui regarde de ses mignons petits yeux William Yorick, du fin fond de la défausse, s’élève joyeusement pour se diriger vers la main, et là, un cône de lumière l'englobe, se rétrécit, pour finir en mettant en valeur un seul mot : revelation.
Voilà mon point de vue, application bête et méchante comme déjà dit.
Sinon, je peux aussi aller prendre mes médicaments !